Le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, a réaffirmé lors d’un rassemblement partisan que l’État ne peut faire des concessions financières au-delà de ses capacités.
Alors que les enseignants contestent l’accord sur le Statut unifié, signé le 11 décembre, Akhannouch a souligné que l’accord nécessiterait annuellement 10 milliards de dirhams, comprenant une hausse des salaires et des primes.
Malgré cela, certains enseignants rejettent les concessions jugées insuffisantes, incitant le gouvernement à réunir à nouveau les coordinations pour discuter de leurs revendications, dont une demande de hausse des salaires de 3000 dirhams.
Akhannouch appelle à la responsabilité, soulignant la légitimité des revendications syndicales et l’importance de la contribution de tous à la réforme éducative.