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La ville de Fnideq, située au nord du Maroc, demeure un lieu clé pour les départs de migrants vers l’Europe. Comme l’année précédente, plusieurs groupes coordonnent ces tentatives via les plateformes numériques. Les candidats à la migration irrégulière se rassemblent désormais en grand nombre. En effet, ils profitent des informations partagées en ligne pour choisir le meilleur moment pour tenter la traversée.
Les réseaux sociaux, outil d’organisation en temps réel
Les plateformes numériques comme WhatsApp et Facebook sont devenues des outils essentiels pour l’organisation des départs. Elles servent de relais pour transmettre des informations cruciales en temps réel :
- Alertes Météo : Conditions de mer et alertes météo.
- Itinéraires : Les itinéraires jugés « plus sûrs ».
- Logistique : Horaires, points de départ et conseils matériels.
Les migrants misent sur des conditions favorables pour maximiser leurs chances de réussite. Par exemple, ils privilégient le brouillard ou la mer calme.
Les risques majeurs et la prévention par les autorités
Malgré cette planification, les traversées clandestines comportent des dangers extrêmes. Les risques restent élevés, incluant la noyade, les accidents graves lors du franchissement de la frontière, ou l’exploitation par des réseaux criminels.
Face à cette situation, les autorités locales alertent régulièrement sur les dangers. De plus, elles mettent en place des mesures de prévention pour éviter les départs dangereux :
- Surveillance : Surveillance accrue des zones sensibles.
- Sensibilisation : Campagnes de sensibilisation des populations locales.
- Interventions : Interventions rapides en cas de tentatives de départ.
L’enjeu sécuritaire et humanitaire est majeur. En conclusion, la coordination via les réseaux sociaux complexifie la tâche des autorités, tout en exposant les migrants à des dangers accrus.
